À Sainte-Geneviève des Bois (91) l’association ACAFI anime des temps d’échanges et de libre parole sur la parentalité
Depuis sa création en 1974, l’ACAFI s’attache à favoriser les échanges culturels chez les habitants de Sainte-Geneviève des Bois et plus particulièrement du quartier des Aurettes.
Quelques chiffres…
55 enfants en soutien scolaire à fin 2015
20 adultes participent à chaque atelier
Le projet
Résultats et impact
Baptisés « Ensemble pour la réussite scolaire et l’épanouissement de la famille »
Les groupes de réflexion accueillent depuis septembre 2015 une vingtaine de participants en moyenne – des mères en majorité, mais les pères y sont accueillis à bras ouverts –, d’origines sociales et culturelles très diverses. Un thème est choisi au début de chaque séance, pour deux heures d’échanges enrichis grâce à la présence de la psychologue et d’intervenants extérieurs choisis en fonction de la thématique : travailleurs sociaux, éducateurs, juristes, thérapeutes, médiateurs familiaux, conseillers d’orientation scolaires… L’aide apportée par la Fondation Transdev contribue à financer les dépenses matérielles et les vacations des intervenants.
Pourquoi la mobilité sociale ?
« À travers l’accompagnement proposé aux parents, l’objectif est le bien-être et le développement de l’enfant. Dans les ateliers, les parents échangent entre eux et avec des professionnels sur des sujets aussi divers que l’autorité et ses limites, les valeurs à transmettre, la façon d’aider les enfants dans leur scolarité, la prévention des activités à risque ou addictives, etc. Ils prennent du recul par rapport à leur quotidien et s’enrichissent mutuellement de leurs compétences respectives. »
« Assumer son statut de parent n’est pas toujours facile dans un quartier comme celui des Aurettes. Les rôles traditionnels sont remis en question et trouver la bonne façon de se repositionner n’a rien d’évident. Il n’existait pas dans ce quartier de lieu où les parents puissent réfléchir ensemble. »
« Assumer son statut de père ou de mère n’est pas toujours facile dans un quartier comme celui des Aurettes. Les rôles traditionnels sont remis en question et trouver la bonne façon de se repositionner n’a rien d’évident. Il n’existait pas dans ce quartier de lieu où les parents puissent réfléchir et discuter sur ces sujets. L’initiative de l’association ACAFI est venue pallier ce manque. »